Jeudi début d’après midi, il ne pleut pas, l’occasion rêvée d’aller jeter un oeil dans le jardin, le D200 en bandoulière, à la recherche des premières manifestations témoignant du réveil de la nature…
Martin Vahl, professeur de botanique à Copenhague, publie de manière posthume en 1805 ce nom de genre qu’il a découvert l’année précédente début 1804, à partir des travaux d’observation de la flore japonaise du naturaliste suédois Carl Peter Thunberg. Il le nomme en l’honneur du botaniste, horticulteur et arboriculteur, surintendant des jardins de Sa Majesté britannique, William Forsyth, un des co-fondateurs de la Société royale d’horticulture, décédé la même année.