Le canard, cela vaut le cou(p)
Lundi soir, nous fêtons dignement notre arrivée en terre périgordine en mettant au menu les cous de canard embarqués à Cherbourg. Un régal ! Associés à une laitue, découpés en fines tranches, ils étaient délicieux quoique un peu salés au gout de Françoise.
Floki s'en lèche les babines...
Ce matin, nous sommes allés découvrir le fief du Pierre de Bourdeilles, ce baron local dit « brantôme » (qui brandit l’épée) habitait un château dont le donjon est aujourd’hui encore parfaitement conservé. Très peu de monde dans le bourg où le temps semble s’être figé. Près du pont à becs, un séquoia planté en 1830 a maintenant un petit voisin qui pousse près de lui depuis 2010, Haut de trois mètres, ce bébé a un bel avenir sur les bords de la Dronne.
le chateau de Bourdeilles
petit séquoia deviendra grand
Ah, la Dronne, parlons en, notre loup au cours de la promenade digestive de votre serviteur a subitement décidé de plonger le long de la berge, probablement attiré par un quelconque gibier d’eau que je n’ai pas réussi à voir, l’action s’étant déroulée beaucoup trop rapidement.
Après déjeuner, route vers Périgueux et plongée vers le sud et Le Bugue aux portes de la Vézère. Visite des vieilles rues de la ville et chaleur bien présente, 25° dans notre husbil tous lanterneaux ouverts. Votre serviteur en T shirt à longueur de journée, il y a bien longtemps que cela ne m’était arrivé…
