Où l’on parle pendant quelques minutes des épaves de la Natière : ces messieurs de Saint Malo - extrait on peut toutefois regretter le manque de rigueur et de précision “un navire normand” c’est un peu court pour en fait une frégate corsaire de Granville. Les malouins tirent vraiment la couverture à eux. Quand l’on sait qu’en réalité 30 % des armateurs de cette ville étaient des Granvillais. Ah, Dame !
N’y voyez là aucun chauvinisme de ma part, de toute façon par le passé les équipages Granvillais étaient bien souvent complétés de bretons du quartier de Saint Malo ou de Saint Brieuc.
Quoi qu’il en soit, permettez moi de vous faire découvrir ci-dessous une image des épaves de la Dauphine et de l’Aimable Grenot, respectivement naufragés en 1704 et 1749 (extrait du rapport de fouilles de 2002)