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Les vidéos de Cotentinois

Instagram

… à Montours

Ces jours ci votre serviteur a repris ses investigations généalogiques. Commencées il y a déjà quelques années, elles viennent de connaître un récent développement grâce, en particulier, à l’emploi de la version française d’un logiciel anglais :

Family Tree Builder (FTB) est un logiciel téléchargeable permettant aux utilisateurs de construire leur arbre généalogique, de le modifier en permanence en y ajoutant de nouveaux membres et des informations sur le lieu de naissance, de résidence, les dates de mariages, les centres d’intérêts, etc.

FTB bénéficie d’une fonctionnalité de Smart Matching, laquelle met en relation des membres d’une même famille. Le programme vérifie les noms, les dates de naissance, et les parents de chacun dans la base de données, et dès lors qu’il trouve des compatibilités, en informe l’utilisateur, lequel peut ou non confirmer l’information. Ceci permet aux gens de partager leurs arbres généalogiques et leurs recherches généalogiques avec toute la communauté MyHeritage.

FTB est disponible en 40 langues

Extrait de la carte des lieux - Montours est le point le plus au sud

Extrait de la carte des lieux - Montours est le point le plus au sud

D’ores et déjà, les éléments concernant 47 personnes réparties sur vingt lieux différents, dont un à l’étranger, ont été saisis.

Deux correspondances ont été trouvées, toutes deux aux Etats-Unis, l’une à Charleston en Virginie et l’autre dans l’Utah.

Actuellement, les travaux se poursuivent au niveau de la 6ème génération et il a été permis d’apprendre l’assassinat d’un homme âgé de 60 ans par de « faux chouans » dans sa maison à Montours. Cette petite localité de Bretagne réunit à elle seule huit informations provenant de l’état civil. L’enquête continue…

à Tours

Un grand merci à Frederic sans lequel il n’aurait pas été possible de retrouver cette vidéo qui concerne le fils de mon cousin qui est capitaine à l’école de chasse sur la base aérienne de Tours. Je dois vous avouer que je suis fier qu’il porte ainsi notre patronyme jusque dans les airs…C’était en juillet 2012, un journaliste de la Nouvelle République a pris un baptème de l’air sur Alphajet lire l’article ici : baptème Alphajet

à propos

Les traces informatiques laissées par votre serviteur débordent quelque peu de ce blog.

Il est vrai qu’elles contribuent à l’augmentation de la fréquentation de ses pages et les occurences de Cotentinois sont passées de 9000 il y a déjà un petit moment à 14500 aujourd’hui sur le moteur de recherches de Google mais cela n’ a en réalité que peu d’importance.

La curiosité conduit à des développements et à des migrations. C’est ainsi que par le biais d’Instagram (le grand collectionneur de pic(tures) je suis arrivé sur “about me”

Quid de ce site ?

About.me est un service d’hébergement web personnel co-fondé par Ryan Freitas, Tony Conrad et Tim Young en Octobre 2009. Le site offre aux utilisateurs inscrits une plate-forme simple, à partir de laquelle un lien multiple en ligne identités, des sites externes pertinents et des sites populaires de réseautage social. Il est caractérisé par ses profils d’utilisateur d’une page, chacune avec une grande image de fond souvent artistique et une biographie abrégée.

Somme toute, il offre la possibilité de se faire si je puis dire une carte de visite sur le web. Alors pourquoi s’en priver ? Au passage, j’ai décidé de prendre le T pour fêter cela, il est vrai que cela m’a amusé de faire ce petit clin d’oeil aux origines anglo saxonne de mon patronyme. Curieusement, j’ai d’ailleurs constaté en d’autres lieux sur l’internet que Google (toujours lui) l’avait carrément transformé en transcrivant directement son origine gaélique. Étonnant, non ? comme aurait pu dire le regretté P. Desproges.

A propos, c’est donc par là : Cotentinois

Pic et pic et… Instagram

Instagram est en train de couvrir la planète de photos. Ce petit logiciel de partage, récent, possède quelques ressources plutôt sympathiques. Dédié aux appareils mobiles, il est d’une grande souplesse d’emploi. A noter le format carré retenu pour chaque photo et la possibilité d’indiquer le lieu de la prise de vue (merci M. Google) les commentaires sont les bienvenus et les interactions avec les réseaux sociaux sont également prévues, of course.

Hagueman est donc sur le coup. Histoire de découvrir ce qui ce publie comme, en particulier, ces photos réalisées en Corée du Nord par David Guttenfelder, élu photographe de l’année par le site. l’intéressé, en poste au Vietnam pour le National Géographic Magazine a posté 845 photos montrant la réalité nord coréenne.

Les premières productions de votre serviteur sont ici : http://instagram.com/hagueman mais vous pourrez bien évidemment toujours cliquer sur le petit appareil photo qui s’est posé à coté de la vigie en bas à gauche de ce blog.

Après quelques premières manips, il apparaît qu’il s’agit d’une application qui propose l’ensemble de ses fonctionnalités sur un appareil mobile. Instagram ne dispose en fait que d’une vitrine si je puis dire sur le web, la geolocalisation des photos ne peut se voir que sur smartphone ou tablette. Logique, ces appareils sont dotés de GPS. Concernant la plupart de ces premières photos puisées en archives, leur métadonnées comportant leurs coordonnées ont permis de les positionner automatiquement. Merci à mon Nikon D510 qui lui également embarque une fonction GPS. Je pense que la joyeuse équipe qui gravite autour des fondateurs californiens d’Instagram continuera à faire évoluer ce produit imaginé par deux élèves de l’université de Standford qui, à l’image - le mot est de circonstance - de Mark Zuckerberg ont trouvé là l’occasion de créer leurs propres emplois qui en ont généré beaucoup d’autres.

“ne demandez pas au pays ce qu’il peut faire pour vous, mais demandez vous ce que vous pouvez faire pour lui”

JF Kennedy

Ce n’est qu’un début, continuons le format !

Instagram

Marianne à l’horizon

La vigie nous signale un navire en vue :

A bord de Marianne,

Ne me dites pas que vous ne connaissez pas ce navire. Pour preuve, nous sommes tous embarqués sur ce bateau intemporel. Lire la suite…

Le Navire

Je fus, Plante superbe, en Vaisseau transformée.
Si je crus sur un Mont, je cours dessus les eaux :
Et porte de Soldats une nombreuse armée,
Après avoir logé des Escadrons d’Oiseaux.

En rames, mes rameaux se trouvent convertis ;
Et mes feuillages verts, en orgueilleuses voiles :
J’ornai jadis Cybèle, et j’honore Thétis
Portant toujours le front jusqu’auprès des Étoiles.

Mais l’aveugle Fortune a de bizarres lois :
Je suis comme un jouet en ses volages doigts,
Et les quatre Éléments me font toujours la guerre.

Souvent l’Air orageux traverse mon dessein,
L’Onde s’enfle à tous coups pour me crever le sein
Je dois craindre le Feu, mais beaucoup plus la Terre.

François Tristan L’Hermite (1601 - 1655)

L’aimable Grelot

Hier, nous avons fait la connaissance de Grelot, le lapin nain d’Ilana. Agé de deux mois et demi, il est particulièrement doux et léger (son squelette ne représente que 7 % de son poids total)

Nom scientifique : Oryctolagus cuniculus (lapin européen).

Régime : herbivore.

Embranchement : Vertébrés

  • classe : Mammifères
    • super-ordre : Glires
      • ordre : Lagomorphes
        • famille : Léporidés
          • genre : Oryctolagus
            • espèce : Oryctolagus cuniculus

On remarque que le lapin fait partie de l’ordre des Lagomorphes… et non pas de celui des Rongeurs (une erreur très courante…). Il s’en distingue à cause :

  • de ses mouvements des mâchoires qui diffèrent des rongeurs,
  • du nombre d’incisives supérieures qui est de quatre au lieu de deux chez les rongeurs,
  • du nombre de doigts aux pattes (5 doigts aux pattes avant et 4 aux pattes arrières, alors que le rongeur en a 4 aux pattes avant et 5 aux pattes arrières)

Ca bouge dans le Cotentin

C’était donc ça : un séisme.

Hier après midi, nous étions à la maison et vers 16h00 nous avons entendu une sourde déflagration. Votre serviteur a pensé à un avion passant le mur du son. Françoise a penché pour une explosion de gaz sur Octeville. Que nenni ! Ouest France nous apprend ce matin qu’il s’est produit un séisme d’une magnitude de 3,1 à cinq kilomètres dans le sud de Bricquebec, quasiment au milieu de notre presqu’île.

Hier soir, nous fêtions les quatre ans de Pablo et la famille était réunie. Tout le monde a entendu cette explosion et selon Quentin, “les murs de la maison ont tremblé à Couville”. Il est vrai qu’ils ne sont qu’à 10 kms au Nord, donc plus proches de l’épicentre.

Bref, le phénomène n’a bien evidemment pas échappé aux équipes du Département Analyse Surveillance de l’Environnement à Bruyères le Châtel :

Carte publiée sur le site CEA/DAM/DASE

Carte publiée sur le site CEA/DAM/DASE

l’Aimable Grenot

La première partie de la page consacrée à

est désormais en ligne. Extrait :

Entre le XVIIème siècle et la chute de Napoléon 1er, le port terre neuvier de Granville a pratiqué régulièrement la guerre de course.

Sous Louis XV, pendant la guerre de succession d’Autriche (1744 – 1748),  un armateur Granvillais de 25 ans, Léonor Couraye du Parc, arme successivement trois navires en course : Les Grenot.

Son aventure corsaire, il la commence avec le Charles Grenot, une frégate morutière de 100 tonneaux reconvertie dans la course, équipée de 18 canons et armée par 116 hommes, placée sous le commandement de Jacques Clement, sieur Desnos. En 1745, il entreprend cette fois la construction d’un navire neuf, le Grand Grenot, une frégate de 300 tonneaux, conçue et bâtie exclusivement pour la course.

Au cours du deuxième trimestre 1746, reprenant les plans du Grand Grenot, il fait construire une nouvelle frégate de 390 tonneaux, plus grande encore que la précédente ; il l’appelle l’Aimable Grenot et l’arme de 40 canons. Il en confie le commandement à Pierre La Houssaye.

Première course de l’Aimable Grenot

Le dimanche 19 mars 1747 l’Aimable Grenot sort du port de Granville…    Lire la suite

La Vigie est opérationnelle

Comme vous l’aurez remarqué si vous êtes un familier de ce blog, le sémaphore du roc - la vigie - a pris place dans la colonne de gauche depuis quelques jours.

Je me suis creusé la tête cherchant pourquoi le lien inséré dans l’image ne fonctionnait pas d’où la nécessité de faire mention de l’adresse  indiquée dessous. Cette dernière est maintenant ôtée. Le lien défectueux était tout simplement du à l’absence des deux points figurant devant le double slash précédant l’adresse visée.

Désormais si vous cliquez sur l’image de la vigie le lien fonctionne correctement.

Parallèlement, ce nouveau blog a pris son aspect définitif, texte justifié sur fond blanc étendu à toute la page, sobre. Votre serviteur a également retouché le bandeau d’accueil en l’ajustant automatiquement sous photoshop. La lumière de la côte d’émeraude méritait bien ce léger traitement.

Une écriture éclatée

“l’écran sauvera l’écrit” écrivais-je il y a quelques temps en sous-titre de ce blog. Force est de constater qu’ici et là nombreux sont les internautes qui s’agitent sur leurs claviers et ce, avec plus ou moins de bonheur. La jungle des blogs, contrairement à l’Amazonie, est loin d’être en état de déforestation avancée. Cela est plutôt réjouissant et témoigne d’une certaine activité d’un nombre sans cesse croissant de personnes, jeunes ou vieux ( il ne faut pas avoir peur de ce mot et qu’on arrête une bonne fois pour toute l’hypocrisie qui entoure parfois les “seniors” fermons la parenthèse  )  qui ont décidé un jour de ne plus être de simples consommateurs de l’internet qui demeure pour la plupart de nos concitoyens un vaste marché. Ils sont donc devenus éditeurs - on n’est jamais aussi bien servi que par soi-même - et publient des recettes, des récits de voyages, des coups de gueule, parfois aussi de véritables nouvelles, etc… En réalité, derrière tout ceci, il y a surtout la volonté de partage qui s’exprime en toute liberté. L’émergence récente des réseaux sociaux est venue renforcer cette notion et tout un chacun peut désormais s’afficher à la face du monde et parfois entraîner dans son sillage la sympathie qui se matérialise d’un simple clic ou qui prend la forme d’un commentaire bienveillant.

L’écriture ainsi développée est aussi, à mon sens, une écriture enrichie car l’html (hypertexte markup language) que nous employons possède de nombreuses fonctionnalités et parmi celles ci, les fameuses balises link qui permettent d’établir de nombreux liens entre les différentes pages mises en ligne. De plus, ces liens, véritables fils de la toile mondiale, renvoient bien evidemment vers des photos, voire des vidéos qui sont désormais en haute définition. Que dire aussi de l’écriture cachée, le code si vous préférez, qui structure tout ce que vous pouvez découvrir sur l’écran. Certains prétendent comme les créateurs de Wordpress que “coder est un art” en fait, je pense qu’ils n’ont pas tout à fait tort. En tout cas, on ne peut nier qu’il s’agit là d’un acte de création pure et c’est probablement en cela qu’il y a similitude. Pour tout dire, je crois que le code constitue la partie la plus intéressante de l’écriture, c’est en quelque sorte son squelette, sa charpente qui nécessite un travail de réflexion qui met parfois nos neurones en ébullition.

Cela a justement commencé à bouillir en fin d’année dernière lorsque suite à une tentative d’améliorer un peu l’interface et le back office de ce blog, votre serviteur s’est pris les pieds dans le tapis des lignes de code ce qui n’a pas manqué de provoquer un roulis dangereux pour l’ensemble de ces pages. Bref, après deux jours d’inquiétude et de lourdes manipulations sur Filezilla j’ai redressé la barre et réduit la toile sauvant ainsi la cargaison des centaines de posts embarqués au fil du temps.

Il était nécessaire de faire le point en ce premier jour de 2014.

Mes publications composites s’articulent donc de la façon suivante :

- ce blog que vous lisez, portail d’entrée vers les autres.

- le blog de cotentinois II qui regroupera désormais les articles relatant nos belles éclipses à venir à bord de Soleil Noir.

- nos échappées à terre seront, nous l’espérons, tout aussi belles.

- à terre justement, j’essaierai d’être au poste de veille dans la vigie. Celle-ci  directement reliée à facebook, twitter et google+ enverra donc automatiquement ses observations sur ces réseaux sociaux.

Par ailleurs, le groupe facebook dédié au Marité - 435 membres à ce jour - continuera à se développer. Quant au forum des corsaires, à l’image de La Dauphine, il flotte paisiblement dans le cyberespace.

614 mots pour cet article, l’année commence plutôt bien. Je vous la souhaite bonne.

jm